Déjà, 7000 élèves, en deux ans, sont passés à TUMO Paris, dont 40 % de filles et 2/3 qui reviennent d'une année sur l'autre.
Pour aller encore plus loin dans l'apprentissage du cinéma, du jeu vidéo, du design graphique, du dessin, de la musique ou encore de la programmation , TUMO Paris, l'école gratuite du numérique créée une nouvelle formule pour cette rentrée scolaire 2020.
Avec une session unique de 3 heures par semaine, les adolescents franciliens pourront désormais se plonger dans les huit technologies créatives (cinéma, dessin, animation, jeu vidéo, musique, design graphique, modélisation, programmation), grâce à un rythme plus adapté à leur quotidien.
Les contenus des activités ont été revisités. D'abord, l'autoformation, les modules interactifs et ludiques, conçus pour favoriser l'acquisition de compétences dans les huit disciplines enseignées, au cours desquels les étudiants pourront aussi questionner ces technologies artistiques du numérique par des débats et des jeux. Ensuite, des Labs, animés par des professionnels et organisés tout au long de l'année, seront complétés par des Masterlabs, tenus sous forme de "mini-stage", pendant les vacances, grâce à l'intervention d'experts du monde entier, afin que les étudiants se perfectionnent sur des logiciels professionnels.
Les enseignements ont été adaptés pendant le confinement : dès mars 2020, grâce au programme TUMO Paris from HOME, l'équipe pédagogique a permis aux élèves d'avoir accès à des modules et ateliers à distance encadrés par des animateurs à l'aide de chats.
Inédite par son ampleur - 1500 places pour un cursus complet d'au moins un an, 2500 places pour des modules d'initiation - et son modèle alliant parcours personnalisés sur ordinateur et ateliers dispensés par des professionnels reconnus, TUMO Paris, véritable terrain de création illimité, accueille tous les jeunes franciliens d'univers et de milieux très différents.
Cette 3e rentrée aura lieu les mardi 15 septembre et 29 septembre.
TUMO Paris s'inspire de l'école arménienne du même nom, située à Erevan et saluée comme « l'école la plus innovante du monde ».